Golf du Vivier
Un parcours quelque peu "technique" avec deux "doglegs", le deuxième et le troisième, et pas mal d'eau. Les bunkers, par contre, sont plutôt rares.
Parmi les trous courts, le quatrième présente un joli coup entre une allée d'arbres sur un green avec une chute verticale derrière et de l'eau à gauche et àdroit. Le sixième green est surélevé et il est assez commun de voir son ball retomber en arrière dans un des rares bunkers efficaces. Le huitième trou est facile si on ne tombe pas 10 mètres trop court (dans l'eau) ou dix mètres trop loin, dans une jungle impénétrable.
Le troisième, un dogleg, demande un drive de 200m si on veut avoir une approche directe sur le green. Un peu plus court et c'est encore possible, avec un bois élevé de l'envoyer au-dessus les hêtres...
Le troisième, le cinquième et le neuvième commencent avec des bois hors jeu sur le droit. Deux coups perdus c'est un peu prés la norme pour le jouer avec un handicap élevé.
Le golfeur qui s'intéresse à l'histoire naturelle se trouverait récompensé de ses balls perdus par l'occasion d'observer des hérons, des ragondins et des tortues d'eau. Tous ces créatures ressentent le magnétisme de l'eau presque autant que les balles de golf...